Tout le monde a recommencé à faire ce qu'il avait toujours fait et, seulement le soir, nous nous sommes tous réunis autour de la table du dîner. Toutes les têtes baissées pour ne pas se regarder dans les yeux après ce qui s'était passé la veille. Vers la fin, notre père s'est levé, a tapé du poing sur la table et a dit : « Assez messieurs, ce n'est plus une maison mais c'est un gros bordel. Il est temps de clarifier ce qui se passe. On sait tous qu'ici ça passe à force de baise, sodomie, fellations, masturbation mutuelle et tout ce qui s'en suit. Alors assez, regardons-nous dans les yeux et décidons enfin de ce que nous ferons désormais ».C’est à partir de là que je baise soeur quotidiennement et ce, même quand elle a ses règles.
Nous étions tous ravis d'entendre ce qu'il nous avait dit. Mais ce n'était pas la fin ! En fait, papa, toujours debout, a commencé à se déshabiller. "Allez, messieurs" dit papa "déshabillez-vous aussi et nous verrons de vos corps quels sont vos désirs sexuels."
La façon dont il l'a dit ne laissait aucune alternative, et nous avons donc immédiatement commencé à nous déshabiller. Seuls mon père et moi avons pu montrer notre bite, encore molle, alors que les femelles ne pouvaient montrer que leurs seins car leurs chattes restaient cachées entre leurs cuisses. Papa s'est aussi rendu compte qu'il avait tout de suite compris l'erreur qu'il avait commise. « Mesdames, vous ne penserez pas que vous pouvez vous en tirer comme ça. Allongez-vous maintenant sur le tapis, levez bien vos jambes pour nous montrer la partie sexuelle que vous utilisez le plus volontiers. Mon père ne lui a pas demandé de mendier, puisque j'avais dépucelé ma sœur, mais je n'avais pas pu l'enculer, c'est lui qui s'est placé derrière et après avoir humidifié son petit trou avec de la salive, il lui a penché la tête et la pénétra d'un seul coup, la faisant hurler.
